Hellfest ... en même temps, on peut pas dire que le Crew se fout de votre gueule. "Festival de musiques extrêmes" : c'est écrit dessus ! Quand c'est la guerre, c'est la guerre ! Et, bordel, c'est sûr que pour monter au front, va falloir se blinder de Teuch ! Oh putain ! La Green Teuch ! Celle-là aussi, ça devient impératif de découvrir si c'est un mythe ... ou une réalité ?
La vitrine du Hellfest, surtout depuis l'adoption forcée d'une rafale de tiques moyenâgeuses prostituées à leur pandémique cause, au point d'essayer de troquer leur pinard en calice contre de la roteuse du peuple pour convertir un sponsor, et déjà en pleine branlette d'un spasme victorieux d'inquisition aussitôt expiée dans la néanmoins similaire purge spirituelle d'un confessionnal émulateur entre dégénérés de l'évangile selon ceinte crétine après leur OPA morale sur un additif coupe chiasse, on les comprend, soda gazeux salvateur en matière de dissimulation de preuves dans leur expertise de sodos gazeuses qui ferait pâlir de jalousie un Fritz Haarmann, la vitrine donc, c'est l'"é-clec-tisme", et la "to-lé-rance".
Satan ! Campe-toi bien sur tes sabots, remballe la demie-molle de ton attribut fourchu, les "musiques extrêmes" vont te la jouer à la harpe ! Tu peux filer quartier libre à tes succubes et tes incubes, y'a le ventre mou de la politique de la Cité qui doit passer son inspection de courtoisie, et décider si le racket publique alimentera le foyer de ton chaudron en toute sérénité, ou restera l'exclusivité des comptes de campagne frauduleux, des réfections du patrimoine du clergé, ou autres matelas du silence inondant les vêleuses des bâtards du pouvoir libertaire comme moraliste. Comme quoi, l'avantage avec ceux qui tapent dans la lune, c'est qu'ils ne se reproduisent pas, au mieux, ils contaminent. Et ça ne coûte au contribuable qu'un billet aller-retour en planeur et un peu de shit. Je sais, c'est dommage pour le Maroc ou la Thaïlande, mais toi Satan, forcément, ça te fait te taper sur le ventre, puisque, à l'évidence de l' "il m'a enculée conception" rien que ça ça te valide, , il n'y a pas de pédophilie : juste des enfants de coeur, cons s'entend, totalement à biter par leur paroisse, ou juste des enfants de cul perfidement vicelards, démoniaques au point de pervertir le plus saint des parlementaires laïques du moment.
C'est donc ça : l'"éclectisme" et la "tolérance". Vive les différences, et une bonne tenue par les couilles de la part de chacun d'une main, un dossier de l'immonde dans l'autre ! Une banale histoire de "ferme ta gueule, je fermerai la mienne», une histoire de récrée, la pantomime sociale du pourri, finalement, une joute de sales, des profs quoi !
Alors, rien de dramatique : on sait déjà que ce siècle n'amènera rien ; au contraire, que ce sera le règne de la méga data alimentant le "je te marche sur la gueule" plus ou moins identitaire, et son pendant, la plainte de fond de chiottes de la stigmatisation moins ou plus victimaire de l'opportunisme masqué du pique-boeuf.
Allez, bordel, la revue d'honorabilité est passée ! Cette fois, Lucifer, fait péter la braise ! Refous ta harpe sur un Marshall, et fais moi peur ! T'as troqué du nsbm contre du hophiptamère, des enculeurs de Jean-Pèle Deux contre des drapeaux israélites, c'est pour la bonne cause, et finalement les uns valent les autres, un peu comme les faf et les antifas, ou encore les tribunes du Psg et celles du troc a des rots, et puis surtout, ça fera passer la pilule de l'extrême à tous les cons damnés en claquant le Fury sous oxygénation artificielle de façon plus pérenne. C'est polémique sur l'extrême, mais c'est pile poil "undergroundement" correct dans l'air de ce temps ... et en ces temps gazeux, y' a pas que la Green Teuch qui peut être sanitaire. Chacun son remède.
Sinon, coté respirateur, on peut aussi taper dans tout ce qui est, comment dit-on aujourd'hui déjà ? "Troû" ... Alors allons-y gayment et tapons dans le trou : ces enculés patchés, ces vieilles merdes qui en leur temps faisaient l'unanimité, de la France profonde à l'hexagone du dessus, tous clans confondus, le putain de Hardos, le plus souvent solitaire, cette vérole de la société, esthète de l'esquive, sybarite du pas chassé, épicurien de la parade, champion du sprint final, du robeux aux curés sur les talons, du rasta au rockabilly au cul, en passant par les skins plus ou moins raides, et red suivant le sens du vent, les punks éternels affectueux en mal d'amour et de reconnaissance, jusqu'aux institutionelles rééducations nationales, privées ou publiques, et services désarmés : un vrai liant social ! Chacun sa mémoire aussi.
Au mieux, on peut même rameuter des records à renforts de carrément seventies sudistes ou FM en déstockant la bourgeoise ménopausée nostalgique du frisson graisseux de ses 17 balais chez Drucker, (le temps d'un taupe 50 : faudrait pas déconner dans l'errance non plus), et son martin-pêcheur reproducteur, entre revival et problème naissant de prostate , qui ne manquera pas de pourrir la banquette arrière de sa C5 en conviant sa consanguinité à profiter de la séquence parallèle no Metal, (on me dit que j'ai oublié un "é" : ah ?), le nirvana (merde, un gros mot !) intergénérationnel en alibi, histoire de se greffer sur la rétine un ou deux culs en mini-short enfin acceptables, et dans la mémoire aussi, pour son futur glandage à Paul emploi, lui, l'ex futur post retraité, brillant éleveur de Tanguy amorphes. Qui sait ? Par défaut, il matera p't'être celui de sa propre fille, enfin, supposée, pendant que bobonne finira errante sur le parking de chez Leclerc, pétée comme une huître, avant de se faire récurer la moule façon cougar bien dans son siècle, trop distraite dans l'obscurité pour reconnaître son bourrineur de fiston, authentiquement chié par elle cette fois, et tout autant défoncé, mais pas de la même cavité. Merci Belzébuth ! Ta harpe avait faillit me distraire ! Vive le pet des générations, et "bon dimanche", ou plutôt, "bon samedi"; la formule fera plus néo, (putain l'effort ! : pas la phrase. Le "é".).
Mais l'éclectisme et la tolérance, ça veut finalement pas dire grand chose tout de même : "Mahomet, mouche à merde".
Ça, c'est sûr: c'est classe.
Pas sûr, par contre, que ce soit "Métâl"...
Le Panda dégueule.
Ne te méprends pas, camarade, on n'est pas pour autant pote. J'te fais ma version : les onze mille vierges du paradis, c'est pas ma culture. Alors mon Hell à moi, tu viens pas m'y coller même l'ombre d'un pilote de chameaux. Même en souvenir, même en anecdote, même en connerie humaine, même au fond d'un campement où le beauf porchiot rivalise d'éthylisme et de came avec l'étudiant goret. A fortiori que cette populace est donc résolument pas halal. C'est peut être con, mais c'est comme ça : t'es dans un putain de ghetto occidental. Et ça, respecte le, parce qu'il n'y en a plus. Et quand il n'y a plus de refuge, tu risques de faire face à des gens que tu as acculés, même par delà les démagos de façade... A bon entendeur. Alors tes aspirations universelles, au même titre que celles de parasitages venant d'autres, même dans tes comas les plus abrutis, tu t'essuies le cul avec. Comme je m'essuie le pompon avec tout ce qui dépasse de mes propres éclectisme et tolérance.
Dealers de tous quartiers et autres "pickpockets" (tout mignon le mot s'il en est. Pour désigner une crevure), je profite de l'occas' pour vous fucker bien profond, et au plaisir de vous recroiser. Souris connard, t'es dans la boite ! Et la boite, c'est juste avant la cage !
Nan ! Si le Panda dégueule, c'est juste à cause de : "Métâl".
La vitrine du Hellfest, surtout depuis l'adoption forcée d'une rafale de tiques moyenâgeuses prostituées à leur pandémique cause, au point d'essayer de troquer leur pinard en calice contre de la roteuse du peuple pour convertir un sponsor, et déjà en pleine branlette d'un spasme victorieux d'inquisition aussitôt expiée dans la néanmoins similaire purge spirituelle d'un confessionnal émulateur entre dégénérés de l'évangile selon ceinte crétine après leur OPA morale sur un additif coupe chiasse, on les comprend, soda gazeux salvateur en matière de dissimulation de preuves dans leur expertise de sodos gazeuses qui ferait pâlir de jalousie un Fritz Haarmann, la vitrine donc, c'est l'"é-clec-tisme", et la "to-lé-rance".
Satan ! Campe-toi bien sur tes sabots, remballe la demie-molle de ton attribut fourchu, les "musiques extrêmes" vont te la jouer à la harpe ! Tu peux filer quartier libre à tes succubes et tes incubes, y'a le ventre mou de la politique de la Cité qui doit passer son inspection de courtoisie, et décider si le racket publique alimentera le foyer de ton chaudron en toute sérénité, ou restera l'exclusivité des comptes de campagne frauduleux, des réfections du patrimoine du clergé, ou autres matelas du silence inondant les vêleuses des bâtards du pouvoir libertaire comme moraliste. Comme quoi, l'avantage avec ceux qui tapent dans la lune, c'est qu'ils ne se reproduisent pas, au mieux, ils contaminent. Et ça ne coûte au contribuable qu'un billet aller-retour en planeur et un peu de shit. Je sais, c'est dommage pour le Maroc ou la Thaïlande, mais toi Satan, forcément, ça te fait te taper sur le ventre, puisque, à l'évidence de l' "il m'a enculée conception" rien que ça ça te valide, , il n'y a pas de pédophilie : juste des enfants de coeur, cons s'entend, totalement à biter par leur paroisse, ou juste des enfants de cul perfidement vicelards, démoniaques au point de pervertir le plus saint des parlementaires laïques du moment.
C'est donc ça : l'"éclectisme" et la "tolérance". Vive les différences, et une bonne tenue par les couilles de la part de chacun d'une main, un dossier de l'immonde dans l'autre ! Une banale histoire de "ferme ta gueule, je fermerai la mienne», une histoire de récrée, la pantomime sociale du pourri, finalement, une joute de sales, des profs quoi !
Alors, rien de dramatique : on sait déjà que ce siècle n'amènera rien ; au contraire, que ce sera le règne de la méga data alimentant le "je te marche sur la gueule" plus ou moins identitaire, et son pendant, la plainte de fond de chiottes de la stigmatisation moins ou plus victimaire de l'opportunisme masqué du pique-boeuf.
Allez, bordel, la revue d'honorabilité est passée ! Cette fois, Lucifer, fait péter la braise ! Refous ta harpe sur un Marshall, et fais moi peur ! T'as troqué du nsbm contre du hophiptamère, des enculeurs de Jean-Pèle Deux contre des drapeaux israélites, c'est pour la bonne cause, et finalement les uns valent les autres, un peu comme les faf et les antifas, ou encore les tribunes du Psg et celles du troc a des rots, et puis surtout, ça fera passer la pilule de l'extrême à tous les cons damnés en claquant le Fury sous oxygénation artificielle de façon plus pérenne. C'est polémique sur l'extrême, mais c'est pile poil "undergroundement" correct dans l'air de ce temps ... et en ces temps gazeux, y' a pas que la Green Teuch qui peut être sanitaire. Chacun son remède.
Sinon, coté respirateur, on peut aussi taper dans tout ce qui est, comment dit-on aujourd'hui déjà ? "Troû" ... Alors allons-y gayment et tapons dans le trou : ces enculés patchés, ces vieilles merdes qui en leur temps faisaient l'unanimité, de la France profonde à l'hexagone du dessus, tous clans confondus, le putain de Hardos, le plus souvent solitaire, cette vérole de la société, esthète de l'esquive, sybarite du pas chassé, épicurien de la parade, champion du sprint final, du robeux aux curés sur les talons, du rasta au rockabilly au cul, en passant par les skins plus ou moins raides, et red suivant le sens du vent, les punks éternels affectueux en mal d'amour et de reconnaissance, jusqu'aux institutionelles rééducations nationales, privées ou publiques, et services désarmés : un vrai liant social ! Chacun sa mémoire aussi.
Au mieux, on peut même rameuter des records à renforts de carrément seventies sudistes ou FM en déstockant la bourgeoise ménopausée nostalgique du frisson graisseux de ses 17 balais chez Drucker, (le temps d'un taupe 50 : faudrait pas déconner dans l'errance non plus), et son martin-pêcheur reproducteur, entre revival et problème naissant de prostate , qui ne manquera pas de pourrir la banquette arrière de sa C5 en conviant sa consanguinité à profiter de la séquence parallèle no Metal, (on me dit que j'ai oublié un "é" : ah ?), le nirvana (merde, un gros mot !) intergénérationnel en alibi, histoire de se greffer sur la rétine un ou deux culs en mini-short enfin acceptables, et dans la mémoire aussi, pour son futur glandage à Paul emploi, lui, l'ex futur post retraité, brillant éleveur de Tanguy amorphes. Qui sait ? Par défaut, il matera p't'être celui de sa propre fille, enfin, supposée, pendant que bobonne finira errante sur le parking de chez Leclerc, pétée comme une huître, avant de se faire récurer la moule façon cougar bien dans son siècle, trop distraite dans l'obscurité pour reconnaître son bourrineur de fiston, authentiquement chié par elle cette fois, et tout autant défoncé, mais pas de la même cavité. Merci Belzébuth ! Ta harpe avait faillit me distraire ! Vive le pet des générations, et "bon dimanche", ou plutôt, "bon samedi"; la formule fera plus néo, (putain l'effort ! : pas la phrase. Le "é".).
Mais l'éclectisme et la tolérance, ça veut finalement pas dire grand chose tout de même : "Mahomet, mouche à merde".
Ça, c'est sûr: c'est classe.
Pas sûr, par contre, que ce soit "Métâl"...
Le Panda dégueule.
Ne te méprends pas, camarade, on n'est pas pour autant pote. J'te fais ma version : les onze mille vierges du paradis, c'est pas ma culture. Alors mon Hell à moi, tu viens pas m'y coller même l'ombre d'un pilote de chameaux. Même en souvenir, même en anecdote, même en connerie humaine, même au fond d'un campement où le beauf porchiot rivalise d'éthylisme et de came avec l'étudiant goret. A fortiori que cette populace est donc résolument pas halal. C'est peut être con, mais c'est comme ça : t'es dans un putain de ghetto occidental. Et ça, respecte le, parce qu'il n'y en a plus. Et quand il n'y a plus de refuge, tu risques de faire face à des gens que tu as acculés, même par delà les démagos de façade... A bon entendeur. Alors tes aspirations universelles, au même titre que celles de parasitages venant d'autres, même dans tes comas les plus abrutis, tu t'essuies le cul avec. Comme je m'essuie le pompon avec tout ce qui dépasse de mes propres éclectisme et tolérance.
Dealers de tous quartiers et autres "pickpockets" (tout mignon le mot s'il en est. Pour désigner une crevure), je profite de l'occas' pour vous fucker bien profond, et au plaisir de vous recroiser. Souris connard, t'es dans la boite ! Et la boite, c'est juste avant la cage !
Nan ! Si le Panda dégueule, c'est juste à cause de : "Métâl".
Hellfest ... en même temps, on peut pas dire que le Crew se fout de votre gueule. "Punk, Hardcore, Métâl" : c'est écrit dessus ! Mais reste que "Métâl", c'est un peu le terme générique moderne du paf merdiatique pour regrouper tout ce beau monde dans le même pot de pus et t'entuber dans l'impunité la plus absolue de sa désinformation. C'est aussi celui de l'industrie de ce début de siècle; une industrie où le rebelle est le pigeon. De préférence le rebelle d'une rébellion qu'on lui a fabriquée. Y' a même plus besoin de mâcher : c'est du mixé, avale ! Alors, pour le faire passer ... Bordel ! Toujours pas l'ombre d'une Green Teuch à l'horizon alors que désormais ça devient vital...
Suffit de se cogner avec abnégation les torches-culs pondus par l'ensemble de nos élites journalistiques pour se demander si les interviews de Laide Jaileplein par Manoeuvre, (rien que le nom, faut être con pour pas se douter de quelque chose), ont pas fait radicalement école coté "je m'assoie sur la déontologie". Que les pétasses recrutées sur les chaînes d'info continue en soient à concourir dans le dégrafage de leurs corsages pour faire oublier leur connerie, en suçant le télé autiste entre 20 pages de pub et 50 de météo, passe encore, même si rarement flatteur, ça permet au moins de détourner le regard de la sale gueule de certaines. Et puis, finalement, l'exhibe de la tétine dans ces métiers, c'est le soft du droit de cuissage de l'employeur, quoique ça devienne dégradant quand on fait jouer de la transparence à la porteuse de gaine quinquagénaire, et ç'est presque à pleurer quand la dernière réfractaire finit par s'exécuter, la face déconfite, la mamelle à moitié dégorgée, et gorgée de la honte d'en être réduite à faire la pute en public pour réussir à sauver son job. Mais, tout de même, faudrait un jour songer à réactualiser l'éthique du premier trimestre de science pot, en commençant par l'apprentissage de l'écriture et de la lecture. De débits de conneries, en traitements par l'image anachronique, le modèle national rivalise avec l'obscur régional dans la plus affligeante incompétence, sans évoquer les minables manipulations. C'est le cas pour le Metal, alors soyons rassurés pour le reste! Dormez bien, le vedettariat et le baril de lessive sont les garants de votre liberté de la presse. Et puis on sait jamais : ça pourrait vous cultiver.
A décharge, et d'ailleurs jamais expression n'a été plus à propos, il faut dire que la fosse à purin est devenue fertile, et simplement en parcourant la prétendue Net-presse, on peut mesurer toute l'ampleur de cette chienlit. Si au moins les utilisateurs du Web qui semblent avoir une haute estime d'eux-mêmes en la matière, contrebalançaient le dégueuli propagé sur nos écrans de MMMMMM... , (oui ça en fait bien 6), à Banal-, entre sacs à merde et réel troupeau de guignols... mais, hélas, du webzine starificateur de piliers de comptoir de salle de spectacle aux vitrines du supermarché du genre, c'est un florilège de falsification : la carrière de nombre de ces matraqueurs d'inepties et autres vendeurs à la criée a du assurément commencer dans l'académie des commentaires de youteub et autre délitmotion avant de se véroler définitivement dans un coït partouzard avec la contrefaçon, la compromission, et la corruption.
Aux fins fonds du cloaque, on trouvera en alternative les forums, mais faudra prendre bien soin de brasser la merde en se pinçant le nez, entre cartels d'auto-branlettes, musicos ratés, experts es musicologie du copier coller et de la traduction foireuse, clans d'exhibitionnistes de l'ego, chacals sur le retour, pouffiasses en chaleur, et détenteurs de 36 comptes au service d'un seul, (au pire ça feint le dynamisme et la fréquentation, ça s'auto suce en questions-réponses, et la rasade de schnaps pour la fin, ça booste même les sondages ou les votes dans le sens du dictat foireux du moment), autant en passer, et des plus nauséabonds, avant de gauler une paire d'ovnis ou d'extra-terrestres dignes d'intérêt.
L'industrie ... L'industrie ? Qu'en dire ? Strictement rien : une pourriture nécessaire qui se suffit à elle-même pour se définir. On a juste ajouté "show-biz" en complétif de l'abject et du pitoyable : suffit de voir les vieilles "gloires" sur le retour venir greffer en déambulateur leurs ballons de poulains glameux télé réalisés dans la parasitose aigue incurable du, "on n'est pas invité mais j’m’incruste quand même , moi et mes bouses".
Alors que reste t-il du Metal ? Voire de nos amours ?
La Warzone ? What the fuck ? Mais à voir la gueule de certains gaillards et autres greluches cramées du casque, on peut penser qu'ils étaient blindés de leur came. C'est pas la mienne ; de Metal, ils sont sortis des clous, voire ils ont toujours traversé en dehors. "Pas ma came", veut pas dire acculturé : j'ai aussi des merdes qui parsèment ma bambouthèque, des fois par respect de camaraderie, ou simple nostalgie de celle-ci. Ces merdes, ça s'appelle des jalons, et pour moi ça possède sa propre identité. Il n'y a plus d'éclectisme et de tolérance, quand il n'y a plus d'identité. En 2013, "Métâl" semble dramatiquement s'écrire avec un "é", quand d'autres osent encore l'écrire avec un "e". Y’en a même qui pensent que l'Histoire peut se réformer comme l'orthographe et qui réussissent à greffer 2 "l" à leur "Métâlleux". C'est un beau succès commercial, mais plutôt crever que de s'envoler ; perso, je lève mon "l" solitaire et je dis je le jure, mais ni sur l'ancienne, ni sur la néo bible. Chacun sa vision.
Alors, juste, je me demandais si ces rictus Warzoniens repus étaient si bien traités que ça : de ce qui apparaît en blanc (Punk et Hardcoreux exit Metal) sur mon toxic order, moins d'un quart m'étaient totalement inconnus. Et comme ce troupeau de sectaires et de fouteurs de merde passe ses loisirs à branler sa gouaille façon gérontophile sur les dinosaures du Metal des Mainstages, je me demandais : et eux, ils ont une relève ? Ou bien, là aussi, il faut des cavaleries dans une toute pragmatique clairvoyance pour garder une perspective de viabilité sereine, et d'opportunité à moindre mesure d'une chance donnée aux plus débutants, ou simplement moins reconnus, à fortiori dans notre Jack Lang nation, qui est à la culture de l'imposture ce que Carl Lang est à l'imposture de la culture.
Il n'y a finalement qu'un transfuge qui a atterri sur une Mainstage : un P.D. ? Non, pour ça, y'en a sur toutes les scènes et dans toutes les fosses, à tel point que ça renifle la gay pride plein pet, quoique ceux-là aussi désormais, ils ont finis, pour pouvoir se distendre, par aller à l'autel en rangs d’oignons désespérants, la bague au gland sous les « hourras » ou conspués, aseptisés de leurs différences et excusés d’une greffe d’ovaires andropausées pour s'abonner à la CAF, comme prévu. Je nommais juste Parkway Drive, le plus méritant du genre d'ailleurs à mon goût, m'interrogeant juste sur la volonté réelle de désenclavement du genre Warzonien.
Hélas, là aussi, les troupes me semblent de moins en moins ... comment dit-on déjà : ah oui ! "Troû"! Sauf coté vie en communauté évidement, car là, on peut encore constater, de ci, de là, l'éclatante aisance du Pônk défoncé, ou pas d'ailleurs, à foutre sa merde, de préférence, en dehors de sa scène. A ne pas confondre cependant avec le détenteur de clébard pucé en provenance de l'aéro porcs de Nantes ou autres champs de bouses de Tarnac maniant la choure à ses heures perdues, quoiqu'on en soit proche. De rien, y'a pas de quoi : c'est toujours un plaisir de renvoyer une mandale dans la gueule quand on vient casser les couilles gratuitement.
Alors : le "Métâl" ! Finalement le nom d'un hospice, ou d'un orphelinat, une sorte de néo bannière révisionnée de tout ce que le showbuse produit de plus lucratif sans une tune de diffusion ! Quoique ... "Hellfest" ! N'est ce pas là une antithèse en soit ...
Tiens! Une grande enseigne cul-culturelle est en train de nous dégommer gaiement sa potentielle paire de contribuables contre salaire ... j'en suis attristé à un point, c'est fou ! Merde, ne pas perdre de vue notre méchoui : Faut-il sauver le soldat Hellfest ? Je me demandais combien de disquaires indépendants étaient passés à la trappe quand ce potentiel présentait son curriculum enculae à la dite enseigne... Ceci dit, perso, je suis contre le mariage homo. Je sais, ça va stresser les gouttes de méat coule pas et les frôleurs-frotteurs fous du Hellfest. Ah, c'est gavant là, le méchoui, bordel : donc, faut-il sauver la tarlouze Hellfest ? Bon, autant compléter : je suis contre le mariage tout court.
Putain, ça y est, t'es arrivé jusque là, et tout ça pour nous friser un anévrisme en plus ! Mais rien que pour t'emmerder avant que tu crèves, je suis contre l'avortement aussi. T'es assez "Métâl", là ? Alors faut-il sauver le foetus Hellfest ? Non, je demande juste comme ça ; faudrait pas que la barbouilleuse post-boutonneuse intermittente du spectacle qui fait sa pub à tous les coins de chiottes façons féministe de mes deux, donc anti-femen, une taupe qui s'écrit au masculin là aussi, nous fasse une perte blanche nerveuse. Car c'est pas tout à fait vrai : je serais pour l'avortement le jour où les hommes pourront flinguer aussi le bébé, à loisir, dans la même décision unilatérale, à coups de pompes dans le bide de la ballonnée de l'organe, ou avec la bienveillance des vétérinaires, c'est selon. Ouf ça rassure ! Hein ?! ... Je m'en doute !
Alors bordel de merde, faisez pas les cons, les alchimistes, et lâchez rien pour garder votre cathédrale debout ! Quant au Hellfest, oui c'est clair, par St Michel, quand on saute sur Clisson Town : " Faut reconnaître... c'est du brutal. Vous avez raison : il est curieux, hein ? Faut quand-même admettre que c'est plutôt un fest d'homme. J'y trouve un goût de Metal. Y'en a... Vous avez beau dire, y'a pas seulement que du Metal. Y'a aut'chose... Ça serait pas des fois du Punk et du Hardcore, hein ? Si ! Y'en a aussi...".
Hellfest ... bon d'accord, mais putain, toujours pas l'ombre d'une saloperie de Green Teuch dans ce foutu bouge Clissonais ! La Green Teuch ? Un putain de graal ? Une licorne ? Une légende bloggesque ? Une quête ? Ouais, voilà : peut être tout simplement une banale quête. La quête hypothétique de chacun. Ce seul point commun, mais décliné en autant de Green Teuch qu'il y a de festivaliers, une sorte de Noël en Juin, le troc d'un crétin flasque encadré d'une bourrique et d'un bovin castré contre une rafale d'hirsutes faiseurs de bordel et une salve de p'tits bonheurs assourdissants ou conviviaux.
Pour le Metal Panda, le troc de la veillée des volailles émasculées, où se tord en fosse grasse la bouche torve d’une paire de grosses fesses, capitonnées de fausses grâces en vrai boudin de marché de Noël, graisse cérébrale en tenue de soirée, la gaine poids lourd, la gêne légère, entre le gaz part et Balthazar, le gène allégé, la bannière de la tolérance révoltée en écharpe de strass vert, entre deux flûtes de stress, la gueule toute maculée de foie gras de connards. Celle aux gloussements des dindes cannibales garnies de marrons par tous les orifices, la table essorée de grince doigts en pattes blanches de circonstance, où flagorne aux bas maux des états désunis, l’antre Jean Bonneau ruisselant du beau mât des étais unis face aux otages putassières de la bien-pensance, se pâmant du rêve de rodéos bovins dans la diligence acquise hypocrite et sans honneur de son cul de vache. A parier que leur Histoire avec un petit « h », roulée dans la simagrée de leurs trois feuillets, a besoin désormais d’un nègre pour être écrite et s’essuyer, guirlandes illuminées au cortex flasque gavé de réality froid, analphabètes et imbéciles, inaptes à lire un noteur, suceuses de marionnettes abjectes virevoltant à renforts de fric sur les scènes de la misère, toutes enfilées dans de saines pauvretés, à s’en torcher le vit, cons à en bouffer du shit, si cons à en mâcher de la merde, tellement cons à en avaler le prêche, vraiment trop cons pour en chier le prêcheur.
Celle, aux regrets des alternatives de mises en Seine sur fond de bière, où la fausse brune convertie sœurs et clients, bouchent et débouchent, et re-débouchent en corps, claironnent en ressac leurs fruits de mère, créatures des marais avec odeurs, la patte alimentaire en grosse nouille, le bulbe sous engrais, l’humanisme sur pivot dans un bouillon d’inculture, scintillant dans les décorations colorées phalliques et mono couilles d’un sapin écologiste pédophile à la cime violeuse d’ange, au sourire béat de souvenirs en toiles de jute, à finir pendu à un viseur rétro, le temps de l’attirer, Déo dorant. Celle où, la morale au bord des lèvres, la mandibule à mastoc, goinfrée de ses vertus, gazouille les bulles de son pétillant des caves sur fond de bave, parant une main que l’on n'oserait saisir, même pour se torcher, l’œil fripon à se faire partouzer entre deux grenades au pied de Mykérinos en bonne néo Minnie enfoulardée, amande déshonorable, le billet pour le paradis bien calé entre les seins, le fessier bourré de gredins puants jusqu’à ce que foutre s’en suive par les oreilles, misérable dinde aux marrons, le regard effrayant de détours au son de ses crachats, porte étendard du blason des lâches, irrémédiablement sourde aux têtes infantiles des bourkas qui roulent encore et sans corps sous les caillassages dans les arènes de ses rachats déconfits du pas de l'oie vert.
Le troc de leur Noël à mille lieux des milles et une nuit, où la reine des tables, maîtresse d’étable, en atteinte aux droits des nymphes agite sa cloche en se gavant d’œufs de lymphe, l’inélégance vautrée sur canapé, beurrée, à troquer le Beluga d’Iran contre un napperon chinois pour se torcher le bec à moindre goitre, la bonne conscience toute repue de ses compassions Afghanes, Bouddha suiffeux de trop plein de bouffe, affalée et ventrue, immonde insulte aux résistants millénaires de Bâmiyân, telle une enfante difforme et dégénérée vêlée d’un coït entre Gengis Khan et une truie enturbannée parée de Kalaschnikov, les dents toutes engluées de la fiente de ses clichés encaviardés, entre libération gastrique et humanité torchon, à faire ripaille sur le dos des Maures, au frais des morts.
On m'avait dit : "report" ... Faire un report sur le Hellfest ? Comme si j'avais une gueule à faire un "report" ! Je laisse ça ... euh ... aux meilleurs comme aux pires. Je m'en branle d'un "report" ! Parait qu'il y avait une guerre à mener ? Et alors ? Ce qui précède n'a rien d'un "report" ? N'a rien d'une guerre non plus ? Un hors sujet ? Et on va aussi laisser tomber là, la quête de cette putain de Green Teuch ? Qui sait ...
Et si, tout assaut mené dans les règles de l'art guerrier, comportait en préambule, une diversion ?
Alors, basta ! Basta les ingés sons de la chaîne Akaïkaï et du mp3 donneurs de leçons, les basses trop basses, les médiums un tantinet mieux sur la 4 de la set que sur la 6, les aigus un poil criards à cause du zef force 3 quart nord est, basta les toques d'élite du chili qui fait péter, du végét' trop fûûûn, et du bounty qui bouche le derche, basta les soupeurs de flaques de pisse et les mères d'Angugus scato, basta les grateux du samedi qu'auraient vu une p'tite croche en plus au troisième temps de la valse, basta les détroussés bourrés comme des coins, laxistes qu'on en dirait des receleurs, basta les métâlleux qu'ont vu les Metaleux qu'ont vu les métâlleux, basta les intermittentes du spectacle en sous-tif infiltrées qu'ont pu déclencher l'offensive boobs pour l'image du fest que deux heures au tarif pas syndical parce que la pluie c'est mouillée que même y'a de l'eau dedans, basta les escrolos qu'auraient bien tapé mais qu'ont pas tapé, leur écologie trônant dans leur propre merde, basta les vip de leur propre nombril que si y'avait qu'eux ce serait mieux, basta ces salopards de kids qu'empêchent cet honnête père de famille photographe de faire son job, basta le gourmet de la binouze à 4 grammes 1/2, que le godet, il a goût de plastique et qu'y manque -0,5 degré à la Kro que ... que si y'avait de la Green Teuch, connard, ce serait meilleur ! T'as qu'à te saouler la gueule au pichet, tu te gâteras pas le palais ! Basta l'anti-teutons, mais c'est vrai, j'oubliais, toi tu roules en pigeot quand eux roulent en Audi, euh, je te la refais, que même moi je révise ma position, que eux, ils ont Kissin' Dynamite quand toi tu te subis l'épandage d'un Black Reins de M... puissance 6, et là j'en change pas, j'aime trop la levrette ! Basta le fantasme de ta première MST, que le mardi, ta bredouille t'as obligé à te branler dans le calcif de ta mère pour un retour au quotidien de ta demie-molle réalité, basta le gros con de boulet d'Anselmo, c'est déjà sympa de reconnaître que Down 1 fois, c'était pas mal, mais 2 fois, le résidu de team Rôde René, tu te fais humble d'autant d'honneur, et surtout après tu disparais du site te faire un ravalement d'ego chez le psy au lieu de faire ta suceuse à tous les râteliers, basta le bouseux à Disney, basta le naufragé économique télé porté au zoo que le samedi à Clisson Town c'est moins cher qu'une crêpe à Dinan avec ta morue, basta le K-way ça fait pas de toi un habitant de Roubaix mais juste un casse couille de pèlerin qui se croit à Compostelle, basta le bein nous à Paris, ça fait de toi un authentique connard, basta le candidat au bacho que j'espère que tu l'as eu dans le cul, ça fera un imposteur de moins, basta la furonculée, basta l'ampoule au pied, basta le dépucelé de la pipe entre deux murges, c'était un mec qui t'a pompé pauv' trou du c', basta la face de double pédale que le gârs lâ, bein ' l' â mieux cogné lâ caisse claire en 84 que même j'y étais à To Loose en 84, basta la ragnagna, basta le c'est naze, bein si moi j'étais Barbaud, je te transformerais ce marécage de Fest en lac de plaisance j't'le dis : t'en es déjà un, de barbeau, juré, crois moi ! Basta ! Basta !
Basta le "report" !
Au Hellfest, le boucan, c'est réservé aux bands, les honneurs, aux volontaires, les encouragements au crew, les yeux qui pétillent, les oreilles qui sifflent, le bide qui se noue, aux fans.
Basta votre "report" ! Diversion ? ... Chacun sa Green Teuch !
Et, comme là on sent qu’on arrive à un moment clef, que la tension accumulée enfle à s’éclater dans les prémices d’un instant dramatiquement émouvant, non, pas celui d’un insignifiant climax, mais bien celui de l’acmé d’une offensive dans la plaine toxique de Clisson Town sur le théâtre du Hellfest, recueillons-nous, et souvenons-vous, car cette fois, c’est l’ultime…
Pour le Metal Panda, le troc de la veillée des volailles émasculées, où se tord en fosse grasse la bouche torve d’une paire de grosses fesses, capitonnées de fausses grâces en vrai boudin de marché de Noël, graisse cérébrale en tenue de soirée, la gaine poids lourd, la gêne légère, entre le gaz part et Balthazar, le gène allégé, la bannière de la tolérance révoltée en écharpe de strass vert, entre deux flûtes de stress, la gueule toute maculée de foie gras de connards. Celle aux gloussements des dindes cannibales garnies de marrons par tous les orifices, la table essorée de grince doigts en pattes blanches de circonstance, où flagorne aux bas maux des états désunis, l’antre Jean Bonneau ruisselant du beau mât des étais unis face aux otages putassières de la bien-pensance, se pâmant du rêve de rodéos bovins dans la diligence acquise hypocrite et sans honneur de son cul de vache. A parier que leur Histoire avec un petit « h », roulée dans la simagrée de leurs trois feuillets, a besoin désormais d’un nègre pour être écrite et s’essuyer, guirlandes illuminées au cortex flasque gavé de réality froid, analphabètes et imbéciles, inaptes à lire un noteur, suceuses de marionnettes abjectes virevoltant à renforts de fric sur les scènes de la misère, toutes enfilées dans de saines pauvretés, à s’en torcher le vit, cons à en bouffer du shit, si cons à en mâcher de la merde, tellement cons à en avaler le prêche, vraiment trop cons pour en chier le prêcheur.
Celle, aux regrets des alternatives de mises en Seine sur fond de bière, où la fausse brune convertie sœurs et clients, bouchent et débouchent, et re-débouchent en corps, claironnent en ressac leurs fruits de mère, créatures des marais avec odeurs, la patte alimentaire en grosse nouille, le bulbe sous engrais, l’humanisme sur pivot dans un bouillon d’inculture, scintillant dans les décorations colorées phalliques et mono couilles d’un sapin écologiste pédophile à la cime violeuse d’ange, au sourire béat de souvenirs en toiles de jute, à finir pendu à un viseur rétro, le temps de l’attirer, Déo dorant. Celle où, la morale au bord des lèvres, la mandibule à mastoc, goinfrée de ses vertus, gazouille les bulles de son pétillant des caves sur fond de bave, parant une main que l’on n'oserait saisir, même pour se torcher, l’œil fripon à se faire partouzer entre deux grenades au pied de Mykérinos en bonne néo Minnie enfoulardée, amande déshonorable, le billet pour le paradis bien calé entre les seins, le fessier bourré de gredins puants jusqu’à ce que foutre s’en suive par les oreilles, misérable dinde aux marrons, le regard effrayant de détours au son de ses crachats, porte étendard du blason des lâches, irrémédiablement sourde aux têtes infantiles des bourkas qui roulent encore et sans corps sous les caillassages dans les arènes de ses rachats déconfits du pas de l'oie vert.
Le troc de leur Noël à mille lieux des milles et une nuit, où la reine des tables, maîtresse d’étable, en atteinte aux droits des nymphes agite sa cloche en se gavant d’œufs de lymphe, l’inélégance vautrée sur canapé, beurrée, à troquer le Beluga d’Iran contre un napperon chinois pour se torcher le bec à moindre goitre, la bonne conscience toute repue de ses compassions Afghanes, Bouddha suiffeux de trop plein de bouffe, affalée et ventrue, immonde insulte aux résistants millénaires de Bâmiyân, telle une enfante difforme et dégénérée vêlée d’un coït entre Gengis Khan et une truie enturbannée parée de Kalaschnikov, les dents toutes engluées de la fiente de ses clichés encaviardés, entre libération gastrique et humanité torchon, à faire ripaille sur le dos des Maures, au frais des morts.
On m'avait dit : "report" ... Faire un report sur le Hellfest ? Comme si j'avais une gueule à faire un "report" ! Je laisse ça ... euh ... aux meilleurs comme aux pires. Je m'en branle d'un "report" ! Parait qu'il y avait une guerre à mener ? Et alors ? Ce qui précède n'a rien d'un "report" ? N'a rien d'une guerre non plus ? Un hors sujet ? Et on va aussi laisser tomber là, la quête de cette putain de Green Teuch ? Qui sait ...
Et si, tout assaut mené dans les règles de l'art guerrier, comportait en préambule, une diversion ?
Alors, basta ! Basta les ingés sons de la chaîne Akaïkaï et du mp3 donneurs de leçons, les basses trop basses, les médiums un tantinet mieux sur la 4 de la set que sur la 6, les aigus un poil criards à cause du zef force 3 quart nord est, basta les toques d'élite du chili qui fait péter, du végét' trop fûûûn, et du bounty qui bouche le derche, basta les soupeurs de flaques de pisse et les mères d'Angugus scato, basta les grateux du samedi qu'auraient vu une p'tite croche en plus au troisième temps de la valse, basta les détroussés bourrés comme des coins, laxistes qu'on en dirait des receleurs, basta les métâlleux qu'ont vu les Metaleux qu'ont vu les métâlleux, basta les intermittentes du spectacle en sous-tif infiltrées qu'ont pu déclencher l'offensive boobs pour l'image du fest que deux heures au tarif pas syndical parce que la pluie c'est mouillée que même y'a de l'eau dedans, basta les escrolos qu'auraient bien tapé mais qu'ont pas tapé, leur écologie trônant dans leur propre merde, basta les vip de leur propre nombril que si y'avait qu'eux ce serait mieux, basta ces salopards de kids qu'empêchent cet honnête père de famille photographe de faire son job, basta le gourmet de la binouze à 4 grammes 1/2, que le godet, il a goût de plastique et qu'y manque -0,5 degré à la Kro que ... que si y'avait de la Green Teuch, connard, ce serait meilleur ! T'as qu'à te saouler la gueule au pichet, tu te gâteras pas le palais ! Basta l'anti-teutons, mais c'est vrai, j'oubliais, toi tu roules en pigeot quand eux roulent en Audi, euh, je te la refais, que même moi je révise ma position, que eux, ils ont Kissin' Dynamite quand toi tu te subis l'épandage d'un Black Reins de M... puissance 6, et là j'en change pas, j'aime trop la levrette ! Basta le fantasme de ta première MST, que le mardi, ta bredouille t'as obligé à te branler dans le calcif de ta mère pour un retour au quotidien de ta demie-molle réalité, basta le gros con de boulet d'Anselmo, c'est déjà sympa de reconnaître que Down 1 fois, c'était pas mal, mais 2 fois, le résidu de team Rôde René, tu te fais humble d'autant d'honneur, et surtout après tu disparais du site te faire un ravalement d'ego chez le psy au lieu de faire ta suceuse à tous les râteliers, basta le bouseux à Disney, basta le naufragé économique télé porté au zoo que le samedi à Clisson Town c'est moins cher qu'une crêpe à Dinan avec ta morue, basta le K-way ça fait pas de toi un habitant de Roubaix mais juste un casse couille de pèlerin qui se croit à Compostelle, basta le bein nous à Paris, ça fait de toi un authentique connard, basta le candidat au bacho que j'espère que tu l'as eu dans le cul, ça fera un imposteur de moins, basta la furonculée, basta l'ampoule au pied, basta le dépucelé de la pipe entre deux murges, c'était un mec qui t'a pompé pauv' trou du c', basta la face de double pédale que le gârs lâ, bein ' l' â mieux cogné lâ caisse claire en 84 que même j'y étais à To Loose en 84, basta la ragnagna, basta le c'est naze, bein si moi j'étais Barbaud, je te transformerais ce marécage de Fest en lac de plaisance j't'le dis : t'en es déjà un, de barbeau, juré, crois moi ! Basta ! Basta !
Basta le "report" !
Au Hellfest, le boucan, c'est réservé aux bands, les honneurs, aux volontaires, les encouragements au crew, les yeux qui pétillent, les oreilles qui sifflent, le bide qui se noue, aux fans.
Basta votre "report" ! Diversion ? ... Chacun sa Green Teuch !
Et, comme là on sent qu’on arrive à un moment clef, que la tension accumulée enfle à s’éclater dans les prémices d’un instant dramatiquement émouvant, non, pas celui d’un insignifiant climax, mais bien celui de l’acmé d’une offensive dans la plaine toxique de Clisson Town sur le théâtre du Hellfest, recueillons-nous, et souvenons-vous, car cette fois, c’est l’ultime…
"Et … of course, départ en décibels : Overkill ! ... non, pas la chanson, le groupe. C’est bon, vous avez trouvé le titre ? Biiieeeen ! Thanx !"
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