Le curieux, le visiteur, le touriste, en soit, ça n'a rien de désagréable ... ça peut même être enrichissant.
Tant que l'on n'a pas affaire à un fouille-merde, un sans-gêne, ou un porc.
C'est juste ce que l'on appelle la différence, tant que l'on n'est pas dans l'invasion ...
Le philanthrope, le guide, l'hôte, en soit, ça n'a rien de détestable ... ça peut même être instructif.
Tant que l'on n'a pas affaire à un manipulateur, un arnaqueur, ou à un usurpateur.
C'est juste ce que l'on appelle les valeurs, tant que l'on n'est pas dans le charlatanisme ...
Le moraliste, le prosélyte, le fidèle, ça n'a rien de rédhibitoire ... ça peut même être constructif.
Tant que l'on n'a pas affaire à un mythomane, à un collabo, ou à un lécheur de cul.
C'est juste ce que l'on appelle la culture, tant que l'on n'est pas dans l'expansionnisme ...
Quand les cultures ancrées sur leurs valeurs se nourrissent de différences, ça n'a rien d'utopiste ... ça peut même être fondateur.
Tant que l'on n'a pas affaire à des falsificateurs, à des parasites, ou à des arriérés.
C'est juste ce que l'on appelle la civilisation, tant que l'on n'est pas de la race des bousiers ...
N'en déplaise aux géniteurs de chienlits planétaires, de leurs gestations de fumiers à leurs dénis de façades, il faut bien dire qu'ils finissent toujours un jour, quitte à s'en écorcher leurs putains de sales gueules, par faire le constat à haute et intelligible voix de leur autoproduction quand elle leur pète à la gueule : en l'occurrence, oui, c'est bien le temps de la valse, on dit effectivement en concept correct : "guerre de civilisation".
Avec raison la cagoule peut donc tomber et l'avancée se faire à visage découvert. Et si ça le gueule assez fort après avoir fait lapider ceux qui le murmurait tout au long de son dessein, ça convaincra même sûrement ses cohortes de mulets qu'il n'en est pas l'un des gènes initiateurs. C'est le propre du mulet ; se faire greffer une conviction.
Le segment n'a jamais été le "métâl", mais bien celui de la "musique actuelle" ... rien que le désormais emploi décomplexé de la formule, encore aggravée après l'idéologue "musique contemporaine" des élites dégueulantes de la fin du siècle passé, ça résume tout.
Du carton pâte d'un beaufs-land au martèlement pathétique d'une légende autoproclamée de chambre d'ado façon Linda De Zola dans l'insignifiance du zapping d'une cour baveuse et bavant de réseau social qui demain relèguera à une juste place pour rendu de monnaie, à défaut de racket cashless, on ne sait ce qui se liquéfiera en premier ; les collabos en pleins repentis sous la guillotine, ou peut être, tout simplement, la foule de mains cornues bêlant ses frissons moutonniers à renfort de "je suis Charlot".
Les parvenus coprophages d'une génération aux talents exceptionnellement rares, qui, de ce qu'ils appellent "métâl" n'auront extrait que de la merde depuis 25 ans, brillent enfin des milles feux d'un artifice qui méritait effectivement bien, à lui seul, un anniversaire.
Celui aussi de sa chronique annoncée il y a 10 ans, né sur les ruines avec changement d’identité, déjà faillitaire une première fois, d'un hypothétique bruitage cacophonique à la marge des nivellements par le fond pour petits blancs nantis en mal de rébellion et de foutage de merde démagos, pour qu'eux aussi puissent avoir toute la considération que l'on se doit, de nos jours, d'accorder aux crevures-reines préfabriquées, certes pas encore institutionnellement parlant, en tout cas pour celles-là, du moins pas avant l'avènement de leurs inexorables mutations génétiques.
Mais aussi, pour d'autres authentiques gardiens de troupeaux de chèvres perdues de naissance, inséminés et gavés de fusion, de grunge, de néo, de core, et autres moultes vagues de tentatives marketing abrutissantes de néo négro spiritualité braillarde et gueularde ; faut dire qu'aux origines, avaient déjà été déportés les punks, direction les chiottes, et que du coup on se croyait, de fait, immunisé contre le rap. On l'est.
Sauf que le bousier, en bon dernier des maillons de la chaine des charognards, ça va jusqu'à être le bâtisseur d'un monde parallèle pour recycler, envers et contre tout, sa seule ressource, soit, tout ce qui a atterri, par simple sélection naturelle, aux tréfonds des poubelles et des chiottes.
Il fallait donc bien qu'un jour les dégénérescences consanguines indignes et bannies du Metal bouffent sur le dos des ancêtres répudieurs pour racketter un fac-similé d'Histoire et s'inventer une légitimité, tant qu'à verser dans le révisionnisme, face au passé, et même, qui peut le pire, peut l'inimaginable, face au présent. C'est d'ailleurs à considérer comme totalement salvateur, et bien loin d'être un occulte contrepied, c'est juste très clairement l'opportunité d'un nouveau triage.
Condamnés par le seul culte de leur consumérisme pour meubler le désert de leur créativité à être les vautours de leurs héritages dilapidés, essorés et rincés jusqu'à la dernière fibre dans les lessiveuses de leurs arrivismes parasitaires, du plagiat à la contrefaçon, de l'imitation à la singerie, et après le texte jusqu'à l'inentendable, après la musique jusqu'à l'intolérable, après le support jusqu'à l'inacceptable, après le récipient d'air jusqu'à l'infréquentable, il est toujours un comble d'assister à la prédiction prospective des bousiers sur leurs propres morts.
Un comble qui serait jubilatoire, tant soit peu que l'on en aurait quelque chose à foutre. Sauf que : ce serait l'ombre d'une préoccupation, l'instant d'un égard, la fulgurance d'un constat. Or, notre seuil de considération n’a pas la même géométrie variable que celle de leur jauge.
Il n'y a donc finalement presque rien à en dire ; ce qu'il y avait à prendre a été pris, et c'est l'usage assumé du "consommable".
Ceux qui savent vivre le Metal depuis des années, loin des profiteurs de pacotille, des pitres par procuration, loin de ces redondantes impostures "métâl", ne s'y sont pas trompés : désormais, ils ont tous désertés.
Quant aux autres, grâce au Hellfest, ils ont, sous leurs yeux et dans leurs oreilles, tous les motifs légitimes pour ressentir un jour l'envie de l'apprendre et de le faire.
Tant que l'on n'a pas affaire à un fouille-merde, un sans-gêne, ou un porc.
C'est juste ce que l'on appelle la différence, tant que l'on n'est pas dans l'invasion ...
Le philanthrope, le guide, l'hôte, en soit, ça n'a rien de détestable ... ça peut même être instructif.
Tant que l'on n'a pas affaire à un manipulateur, un arnaqueur, ou à un usurpateur.
C'est juste ce que l'on appelle les valeurs, tant que l'on n'est pas dans le charlatanisme ...
Le moraliste, le prosélyte, le fidèle, ça n'a rien de rédhibitoire ... ça peut même être constructif.
Tant que l'on n'a pas affaire à un mythomane, à un collabo, ou à un lécheur de cul.
C'est juste ce que l'on appelle la culture, tant que l'on n'est pas dans l'expansionnisme ...
Quand les cultures ancrées sur leurs valeurs se nourrissent de différences, ça n'a rien d'utopiste ... ça peut même être fondateur.
Tant que l'on n'a pas affaire à des falsificateurs, à des parasites, ou à des arriérés.
C'est juste ce que l'on appelle la civilisation, tant que l'on n'est pas de la race des bousiers ...
N'en déplaise aux géniteurs de chienlits planétaires, de leurs gestations de fumiers à leurs dénis de façades, il faut bien dire qu'ils finissent toujours un jour, quitte à s'en écorcher leurs putains de sales gueules, par faire le constat à haute et intelligible voix de leur autoproduction quand elle leur pète à la gueule : en l'occurrence, oui, c'est bien le temps de la valse, on dit effectivement en concept correct : "guerre de civilisation".
Avec raison la cagoule peut donc tomber et l'avancée se faire à visage découvert. Et si ça le gueule assez fort après avoir fait lapider ceux qui le murmurait tout au long de son dessein, ça convaincra même sûrement ses cohortes de mulets qu'il n'en est pas l'un des gènes initiateurs. C'est le propre du mulet ; se faire greffer une conviction.
Le segment n'a jamais été le "métâl", mais bien celui de la "musique actuelle" ... rien que le désormais emploi décomplexé de la formule, encore aggravée après l'idéologue "musique contemporaine" des élites dégueulantes de la fin du siècle passé, ça résume tout.
Du carton pâte d'un beaufs-land au martèlement pathétique d'une légende autoproclamée de chambre d'ado façon Linda De Zola dans l'insignifiance du zapping d'une cour baveuse et bavant de réseau social qui demain relèguera à une juste place pour rendu de monnaie, à défaut de racket cashless, on ne sait ce qui se liquéfiera en premier ; les collabos en pleins repentis sous la guillotine, ou peut être, tout simplement, la foule de mains cornues bêlant ses frissons moutonniers à renfort de "je suis Charlot".
Les parvenus coprophages d'une génération aux talents exceptionnellement rares, qui, de ce qu'ils appellent "métâl" n'auront extrait que de la merde depuis 25 ans, brillent enfin des milles feux d'un artifice qui méritait effectivement bien, à lui seul, un anniversaire.
Celui aussi de sa chronique annoncée il y a 10 ans, né sur les ruines avec changement d’identité, déjà faillitaire une première fois, d'un hypothétique bruitage cacophonique à la marge des nivellements par le fond pour petits blancs nantis en mal de rébellion et de foutage de merde démagos, pour qu'eux aussi puissent avoir toute la considération que l'on se doit, de nos jours, d'accorder aux crevures-reines préfabriquées, certes pas encore institutionnellement parlant, en tout cas pour celles-là, du moins pas avant l'avènement de leurs inexorables mutations génétiques.
Mais aussi, pour d'autres authentiques gardiens de troupeaux de chèvres perdues de naissance, inséminés et gavés de fusion, de grunge, de néo, de core, et autres moultes vagues de tentatives marketing abrutissantes de néo négro spiritualité braillarde et gueularde ; faut dire qu'aux origines, avaient déjà été déportés les punks, direction les chiottes, et que du coup on se croyait, de fait, immunisé contre le rap. On l'est.
Sauf que le bousier, en bon dernier des maillons de la chaine des charognards, ça va jusqu'à être le bâtisseur d'un monde parallèle pour recycler, envers et contre tout, sa seule ressource, soit, tout ce qui a atterri, par simple sélection naturelle, aux tréfonds des poubelles et des chiottes.
Il fallait donc bien qu'un jour les dégénérescences consanguines indignes et bannies du Metal bouffent sur le dos des ancêtres répudieurs pour racketter un fac-similé d'Histoire et s'inventer une légitimité, tant qu'à verser dans le révisionnisme, face au passé, et même, qui peut le pire, peut l'inimaginable, face au présent. C'est d'ailleurs à considérer comme totalement salvateur, et bien loin d'être un occulte contrepied, c'est juste très clairement l'opportunité d'un nouveau triage.
Condamnés par le seul culte de leur consumérisme pour meubler le désert de leur créativité à être les vautours de leurs héritages dilapidés, essorés et rincés jusqu'à la dernière fibre dans les lessiveuses de leurs arrivismes parasitaires, du plagiat à la contrefaçon, de l'imitation à la singerie, et après le texte jusqu'à l'inentendable, après la musique jusqu'à l'intolérable, après le support jusqu'à l'inacceptable, après le récipient d'air jusqu'à l'infréquentable, il est toujours un comble d'assister à la prédiction prospective des bousiers sur leurs propres morts.
Un comble qui serait jubilatoire, tant soit peu que l'on en aurait quelque chose à foutre. Sauf que : ce serait l'ombre d'une préoccupation, l'instant d'un égard, la fulgurance d'un constat. Or, notre seuil de considération n’a pas la même géométrie variable que celle de leur jauge.
Il n'y a donc finalement presque rien à en dire ; ce qu'il y avait à prendre a été pris, et c'est l'usage assumé du "consommable".
Ceux qui savent vivre le Metal depuis des années, loin des profiteurs de pacotille, des pitres par procuration, loin de ces redondantes impostures "métâl", ne s'y sont pas trompés : désormais, ils ont tous désertés.
Quant aux autres, grâce au Hellfest, ils ont, sous leurs yeux et dans leurs oreilles, tous les motifs légitimes pour ressentir un jour l'envie de l'apprendre et de le faire.
A ce seul constat : "Très longue vie au Hellfest !"
" ... dis ... c'est toi qu'a pété ? "
" ... pas du tout ... c'est dans l'air. "
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